Différences entre les versions de « Modèle:CadrePar »

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<nowiki>{{cadrePar|Extraits de [http://www.gutenberg.org/files/27936/27936-h/27936-h.htm DES NOMBRES ET DE LA NUMÉRATION MÉCANIQUE Par JACOMY-RÉGNIER. 1855]{{parW|Dans le principe, les Romains n'eurent que trois chiffres: I, pour exprimer les unités; X, pour exprimer les dizaines; [, qui devint plus tard C, pour exprimer les centaines. V, ou cinq, n'exprima ce nombre que comme étant une moitié de dix, X, et fut employé assez tard. De même, plus tard, on se servit de L pour exprimer {{cadrePar|cinquante}} ou moitié de cent, [ ou C. Avant de se servir de M pour exprimer mille, 42 on employait le signe (I) ou ( I ); pour exprimer cinq cents, on prit la moitié du signe (I), mille, c'est-à-dire CI, qui devint bientôt D.}}
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Les caractères romains, qui étaient encore plus compliqués que les caractères grecs, rendaient les opérations de l'arithmétique très-difficiles, ainsi que l'on peut s'en rendre compte en essayant la plus simple opération avec ces caractères. Aussi les Romains ne se distinguèrent-ils nullement comme mathématiciens. Lorsque l'administration des finances de l'État eut pris de larges développements, ainsi que le commerce, on fut obligé de {{cadrePar|recourir à des calculateurs grecs|color=0000FF}}, qui devinrent, pour ainsi dire, les maîtres de la fortune publique et des fortunes privées, Rome manquant d'hommes capables pour contrôler leurs chiffres.
Les caractères romains, qui étaient encore plus compliqués que les caractères grecs, rendaient les opérations de l'arithmétique très-difficiles, ainsi que l'on peut s'en rendre compte en essayant la plus simple opération avec ces caractères. Aussi les Romains ne se distinguèrent-ils nullement comme mathématiciens. Lorsque l'administration des finances de l'État eut pris de larges développements, ainsi que le commerce, on fut obligé de {{cadrePar|recourir à des calculateurs grecs|color=#0000FF}}, qui devinrent, pour ainsi dire, les maîtres de la fortune publique et des fortunes privées, Rome manquant d'hommes capables pour contrôler leurs chiffres.
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{{cadrePar|Extraits de [http://www.gutenberg.org/files/27936/27936-h/27936-h.htm DES NOMBRES ET DE LA NUMÉRATION MÉCANIQUE Par JACOMY-RÉGNIER. 1855]{{par|Dans le principe, les Romains n'eurent que trois chiffres: I, pour exprimer les unités; X, pour exprimer les dizaines; [, qui devint plus tard C, pour exprimer les centaines. V, ou cinq, n'exprima ce nombre que comme étant une moitié de dix, X, et fut employé assez tard. De même, plus tard, on se servit de L pour exprimer {{cadrePar|cinquante}} ou moitié de cent, [ ou C. Avant de se servir de M pour exprimer mille, 42 on employait le signe (I) ou ( I ); pour exprimer cinq cents, on prit la moitié du signe (I), mille, c'est-à-dire CI, qui devint bientôt D.}}
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Les caractères romains, qui étaient encore plus compliqués que les caractères grecs, rendaient les opérations de l'arithmétique très-difficiles, ainsi que l'on peut s'en rendre compte en essayant la plus simple opération avec ces caractères. Aussi les Romains ne se distinguèrent-ils nullement comme mathématiciens. Lorsque l'administration des finances de l'État eut pris de larges développements, ainsi que le commerce, on fut obligé de {{cadrePar|recourir à des calculateurs grecs|color=0000FF}}, qui devinrent, pour ainsi dire, les maîtres de la fortune publique et des fortunes privées, Rome manquant d'hommes capables pour contrôler leurs chiffres.
Les caractères romains, qui étaient encore plus compliqués que les caractères grecs, rendaient les opérations de l'arithmétique très-difficiles, ainsi que l'on peut s'en rendre compte en essayant la plus simple opération avec ces caractères. Aussi les Romains ne se distinguèrent-ils nullement comme mathématiciens. Lorsque l'administration des finances de l'État eut pris de larges développements, ainsi que le commerce, on fut obligé de {{cadrePar|recourir à des calculateurs grecs|color=#0000FF}}, qui devinrent, pour ainsi dire, les maîtres de la fortune publique et des fortunes privées, Rome manquant d'hommes capables pour contrôler leurs chiffres.
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Version actuelle datée du 8 octobre 2021 à 17:35

Version : 1.36.1 4289 (2021-10-8) 20211008173551
Résumé :
Ce modèle met un texte dans un cadre.

{{cadre|texte|width=|color=|padding=|style=}}

texte
Le texte à cadrer.
width
largeur de la ligne, défaut : 2pt
color
couleur de la ligne, défaut rouge (#FF0000)
padding
espace entre le texte et la ligne à gauche et à droite, défaut 1em
style
le style de la ligne, défaut solid (dotted (pointillé), dashed (tirets), solid (solide), double (double), groove (rainurée), ridge (relief), inset (relief intérieur),outset (relief extérieur))

Exemple :

{{cadrePar|Extraits de [http://www.gutenberg.org/files/27936/27936-h/27936-h.htm DES NOMBRES ET DE LA NUMÉRATION MÉCANIQUE Par JACOMY-RÉGNIER. 1855]{{parW|Dans le principe, les Romains n'eurent que trois chiffres: I, pour exprimer les unités; X, pour exprimer les dizaines; [, qui devint plus tard C, pour exprimer les centaines. V, ou cinq, n'exprima ce nombre que comme étant une moitié de dix, X, et fut employé assez tard. De même, plus tard, on se servit de L pour exprimer {{cadrePar|cinquante}} ou moitié de cent, [ ou C. Avant de se servir de M pour exprimer mille, 42 on employait le signe (I) ou ( I ); pour exprimer cinq cents, on prit la moitié du signe (I), mille, c'est-à-dire CI, qui devint bientôt D.}} }}{{parW| Les caractères romains, qui étaient encore plus compliqués que les caractères grecs, rendaient les opérations de l'arithmétique très-difficiles, ainsi que l'on peut s'en rendre compte en essayant la plus simple opération avec ces caractères. Aussi les Romains ne se distinguèrent-ils nullement comme mathématiciens. Lorsque l'administration des finances de l'État eut pris de larges développements, ainsi que le commerce, on fut obligé de {{cadrePar|recourir à des calculateurs grecs|color=#0000FF}}, qui devinrent, pour ainsi dire, les maîtres de la fortune publique et des fortunes privées, Rome manquant d'hommes capables pour contrôler leurs chiffres. }}

donnera :

Extraits de DES NOMBRES ET DE LA NUMÉRATION MÉCANIQUE Par JACOMY-RÉGNIER. 1855
§-1
Dans le principe, les Romains n'eurent que trois chiffres: I, pour exprimer les unités; X, pour exprimer les dizaines; [, qui devint plus tard C, pour exprimer les centaines. V, ou cinq, n'exprima ce nombre que comme étant une moitié de dix, X, et fut employé assez tard. De même, plus tard, on se servit de L pour exprimer
cinquante
ou moitié de cent, [ ou C. Avant de se servir de M pour exprimer mille, 42 on employait le signe (I) ou ( I ); pour exprimer cinq cents, on prit la moitié du signe (I), mille, c'est-à-dire CI, qui devint bientôt D.
§-2
Les caractères romains, qui étaient encore plus compliqués que les caractères grecs, rendaient les opérations de l'arithmétique très-difficiles, ainsi que l'on peut s'en rendre compte en essayant la plus simple opération avec ces caractères. Aussi les Romains ne se distinguèrent-ils nullement comme mathématiciens. Lorsque l'administration des finances de l'État eut pris de larges développements, ainsi que le commerce, on fut obligé de
recourir à des calculateurs grecs
, qui devinrent, pour ainsi dire, les maîtres de la fortune publique et des fortunes privées, Rome manquant d'hommes capables pour contrôler leurs chiffres.